Toi tu le sais, Pale. Tu sais que les fleurs sont nécessaires à la beauté du monde. C’est pour cela qu’aujourd’hui te voilà reparti, enfourchant ta bête mécanique afin de sillonner dans la nature débordante du début de l’été ? C’est après quelques efforts, de belles montées qui font les mollets que tu t’engages en plaine pour y voir à coup sûr des pousses sauvages ? Prendre les couleurs en pleine figure ?
Rêver à te prélasser dans les herbes hautes qui ne te laissent qu’un petit passage, ça t’irais ?
Tu salues les animaux que tu croises ? Te répondent-ils ?
Comme à ton habitude, tu n’oublies pas la forêt, n’est-ce pas ?
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